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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 20:15

                          Sir Henry Morgan                                                                                             

                   SIR Henry Morgan ( 1635  -  1688  )

 

D' origine : Pays de galles ( Angleterre )

Repaire :    Port- Royal ( Jamaîque  )

Coup d'écla : ON dit qu'il est le plus grand . La prise de Panama

est sûrement la plus impressionnante expédition terrestre

menée part des Flibustiers

Mauvaise habitude : Trahir ses assiociés . Aprés le raid sur

Panama, il prend la fuite avec une grande partie du butin...

Puis se fait réhabiliter et devient chasseur de pitate

Fain de carriér : Annobli nommée Lieutenant Gouverneur de

JamaÏque , il finit ses jours paisiblement entre sa maison de port- Royal... et les tavernes qu'il fréquente assidument .

 

Aventurier Gallois, Sir Henri Morgan , a été  l'un des flibustier

 qui, avec l'appui tacite du gouverneur anglais s'attaquan  à trafic maritime et aux colonies espagnoles on peut dire de lui

qu'il fut le plus grand . Secondé par plusieurs  des capitaines de l'Olonnais , ( Roc Barasiliano , Laurent de Graaf ,

Michel le Basque et d'autres ) il profitede leur experience et dirige des espédictions de grande envergure

 

 La premiére connais un étrange départ . Second  du  célébre Mansfeld , Morgan voit le vieil amiral des flibustiers 

renoncer à l'expédition contre Curacao finanée par le gouverneur de la jamaîque . Morgan veut  se rattraper en   tentant un coup de main contre une ville fortifiée...mais son équipage refuse ce oroget préférantse dirider vers

Principe ( aujour'dhui Carmaguey , à cuba ) . Mais cette ville se révéle peu riche .Maogan obtient quand même une

rançon dont 500 boeufs qu'il fait abattre et saler enfin d'entreprendre sans tarder  une autre expédition .Navire de Sir Henri Morgan

                                                                                                                                                              

Morgan et ses capitaines  saccagent en 1669 Mracaîbo au venezuela Encore une fois la ville n'est pas aussi riche

qu'espérée . Elle ne s'est pas remise du pillage de L' Olonnais et les flibustiers de Morgan passent tout un mois à

ratisser la jungle à la recherche de prisonniers à rençonner ou de cachettes dissimulant les richesses des habitant  Au moment de repartir une mauvaise surprise attends les flibustiers : trois navires de guerre bloquent 

L'enbouchure de la baie de MaracaÏbo . C'est L'armada de Barlovento équipée de navires trop gros pour entrer dans la baie mais qui attendent patiemment à la sortie, les trois vaisseaux reliés entre eux par des chaînes pour

décourager toute tentative de fuite

 

 

 imagesCASWP2HO

 

Morga a prévule coup.Luiet ses capitaines font semblant

d'attaquer . Ils vont droit sur les navires de guerre comme

s'il voulaient  monter à l'abordage . Les officiers espagnols

concluentque les flibustiers velentse battre au sabre et en

gentihommes acceptent le défi . sans tirer un seul coup de

canon ils attendent les flibuetiers... maisle premier navire qui  aborde est un brûlot . C'est à dire un navire chargé de

goudron de barils de poudre en plus de mannequins pour

faire croire à un équipage nombreux . Les flibuetiers qui le

maneuvre allument la poudre et sautent par-dessu bord . les

espagnols aussi et dans l'esplosion qui suit leur navire

amiral s'enflamme le second navire est capturé part les

flibustiers . le troisiéme va s'échouer sur la plage pour que

l'equipage puisse courir se cacher à terre .

 

Quand même la plus grande partie des espagnols on le temps de se réfurgier dans le fort qui bloque la sortie de la

baie . Morgan reste bloqué . Toute la journée les espagniols

surveillent les canots qui partent des navires chargés de

flibustiers emportant armes et munitions . les  espagnols se

se rendent à l'evidence : Morgan prépare une attaques par voie de terre , alors ils déplacent les canons qui poitais

vers la mer les positionnant vers la terre . En fait les chaloupes des flibustiers partent emplies d'hommes vosiférent et surexcités.... il reviénnent aux navires avec les mêmes hommes sagement couché au fond de la

chaloupes . Quand Morgan juge que les espagnols ont déplacés tous leurs canons du mauvais côté il léve les voileset sort de la baie sans autre  probléme .

 

 

Morgan s'empare aussi de Pannama en 1671 Cette fois encore la ville se revéle moins riche qu'espéré . ce raid est

marqué par une bataille rangée aux portes de la ville et suivi de brutalités et de débauches oarmiles grandes de

L'histoire de la flibuste.Mais au retour, Morgan se fâche avec ses flibustiers décu  du  butin trop maigre à leur goût

N'attantdant pas que la grogne se transeforme en réglement de compte il met les voiles acompagné de ses plus

fidèles capitaines flibustiers alors qu'il s'enfuitavec la plus grande partie du butin . Une fois en JamaÏque, il est arrêté et dépêché en Angleterre pour y sibir un procès. Cest que la paix est signée entre l'espagne et l'angleterre.

Le raid contre Panama est trés mal vu par le gouvernement anglais qui le fait arrêter . Transporté en Angleterre pour y être jugé, Morgan manoeuvre bien , et la guerre reprenant , il est plutôt accueilli en  héros, anobli, et nommé

lieutenant gouverneur de JamaÏque avec pour mission d'en chasser les pirate et flibustiers. 

   

 

imagesCA5VO9IB 

 

 Il achéve ses jours paisiblement en JamaÏque . Appelé pour constater son décés, le médecin conclut qu'il est mort 

                                                                                      d'avoir trop vécu

 

 

 

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 20:39

images.jpg Le Major stede Bonnet etait un gentihomme retraité de l'armée sur ses  qui vivait sur ses plantages,dans l'île de Barbados vers 1715. ses champs de cannes à sucre et de caféiers lui donnaient des revenus et il fumait avec plaisir du tabac qu'il cultivait lui - même.Ayant été marié il n' avait point été heureux en ménageet on disait que

femme lui avait tourné la servelle . En effet sa manie ne le prit gière qu'après la

quarantaine et d'abord ses voisins et ses domestiques y cédèrent  innocemment

La manie du Major Stede Bonnet fut telle . En toute occasion il commença de

déprécier la tactique terrestre et de louer la marine . Les seuls noms qi'il eût à la

bouche étaient ceux d'Avery de charles Vane de Benjamin Hornigold et 

Teach. c'estaient selon lui de hardis navigateurs et des hommes d'entreprise .

il  écumaient dans se temps la mer des Antilles . s'il advenait qu'on les nommait 

pirate devant le major celui-ci  s'écriait : - loué donc soit dieu pour avoir permis à ces pirates comme vous dites de donner l'exempe de la vie franche et commune

menaient nos aîeux .Lors il n'y avait point de possesseurs de richesses  ni de

gardiens de femmes ni d'esclaves  pour fournir le sucre le coton ou l' indigo ; mais un dieu généreux dispensait toutes chouses et chacun en recevait sa part .

pourquoi j'ademire extrêmement les hommes libres qui paetagent les biens  entreux et mèment encemble la vie des compagnons de fortune .Parcouurant ses planteges le Major frappais souvent l'épaule d'un travailleur : - Et ne ferais-tu

 pas mieux imbecile d'arrimer dans quelque flûte ou brigantine les ballots de la  

 miserable plante sur les pousses de laquelle tu verses ici ta sueur ? Presque tous  les soires le Major réuni ses serviteur sous les appentis à grains oû il leur lisais à la chandelle tendit que  des                                                      

mouches de couleur buissaient autour les grandes actions des pirates d'Hispaniola et ile de la Tortue car des feuilles volantes  avertissant  de volantes avertissaient de leur raoines les villages et les femmes.Excellent  vanel de

de volantes avertissaient de leurs rapines les vilages et les femmes . - Excellent vanel  s'écriait le Major . Brave Honig

véritable corne d'abondance empile d'or . sublime Aveychargé des joyeaux du grand Mongolet le roi de Madagascar  

Admirable Teach qui as su gouverner successivement quatorze femmes et t'en débarrasser et qui imginé de livrer tout les soirs la dernier derniére (elle n'a que seizeans) à tes meilleurs compagnions (par pure générosité grandeur d'arme et sciance du monde ) dans ta bonne île d'Okerecok ! ô qu'heureux serait celui qui suivrait votre sillage celui qui boirait son rhum avec toi  Barbe-Noire maître de la revenche de Reine Anne tous discours que les domestiques  du

Major écourtaient avec surprise et en silence ; et les paroles  du Major n' taient interrompues que le léger bruit  mat des

petits lézards à mesure qu'il tombaient du toit la frayeur relâchant les ventouses de leur pattes puis le Major  abritant de

la main traçaat de sa canne parmi les feuilles de tabac touts les manoeuvres navales de ces grand  capitaines et

menaçaientla loit de Moîse ( c'est ainci que les pirates nomment une bastonnade de quarante coups ) quiconque ne

comprendrait  la finesse des evolutions tactiques propreà la flibuste. Finalement le Major Stede Bonnet ne peut  y

résister daventage et ayant acheté une vielle de dix pieces de canons il l'equipas  de tout se qui convenait à la piraterie

comme  coutelas arquebuses  échelle planches grapins haches et bible ( pour prêter serment ) pipes de rhum et

lanternes  suie à noircir le visage poix  méches à faire brûler entre les doits  des riches marchands et force drapeaux 

noirs à tête de mort blanche avec deux fémurs croisés et le non du vaisseau : La Revanche . Puis il monter soudain à

bord soixante- dix de ses  domestiques et prit la mer , de nuit droit à l' Ouest rasant Saint-Vincent pour doubler  le

yucatan et écumer toutes les côtes jusqu'à Savannah ( ou il n'arriva poin )   

Le Major Stede Bonnet ne connaissait rien aux chauses de la mer . IL commença donc à prendre la tête entre la boussole et l'astrolabe brouillant artomon avec artillerie misaine avec dizaine boute- dehors avec boute-selle lumières

de caronade avec lumière de canon écoutille avec écouvillon commandant de changer pour carguer bref tant  agité par

le tumultedes mots inconnus et le mouvement inusité de la mer qu'il pensa à regagnre la terre de Bardos sile glorieux

désir de hisser le drapeau noir à la vue du premier vaisseau ne l'eû maintenu dans son dessein . Il n'avait embarqué

nulles provisions comtent sur son pillage . Mais la premiére nuit on n'aperçut pas les feux de la moindre flûte . Le  Mjor 

Bonnet décida donc qu'il faudrait attaquer un village . Ayant ranger tous ses hommes sur le pont il leur fit avaler à chacun une pinte de rhum mêlée de poudre ( n'ayant point de vin qui est l'igrédient ordinaire en piraterie ) .  les

domestiques du Major obéirent ; mais  contrairement aux usages leur figure ne s'enflamma pas de fureur . Il s'avancèrent avec assez  d'ensemble  à  bâbord et à tribord  et penchant leurs faces noires sur les bastingages

offrient  cette mixture à la mer scélérate . Après quoi la Revanche étant à peu prés échouée sur la côte de saint- vincent

il débarquèrent en chanchelant .

L' heure était matinale et les visages étonnés des villagois n'excitaient point à la colére . Le coeur du Major lui-même

n'était pas disposé à des hurlements . IL fit donc fiérement l'emplette de riz et de légumes secs avec du porc  salé 

il paya ( en façon de pirate et fort noblement  lui sembla-t-il )avec deux barrique de rhum et de vieux câble . Après quoi les hommes réissirent péniblement à reméttre La Revanche à flot ; et le Major stede Bonnet enflé de sa premiére

conquête reprit la mer .  IL fit voile tout le jour et toute la nuit ne sachant  point  de quel vent il était poussé vers l' aube du second jour s"etant assoipi contre l'habitacle du timonier fort gêné de son coutlas et de son espignole le Major stede  Bonnet  fut éveillé par un cri : - Ohé de la chaloupe et il aperçut à une encâblure le bout d'un vaisseau qui se

balançait un homme  trés  barbu était à la priut un petit  drapeau noir flotait au mât . Hisse notre pavillon de mort !

S'écria le Major stede Bonnet   et se souvrnant que son titre  était l'armée de terre il désida sur -le -champ de prendreun autre non suivant d'ilustresexemples . Sans aucun retard il repondit donc : - chaloupe  la Revanche

commendée partmoi capitaine  Thomas avec mes compagnon de fortune .

Sur quoi l' homme barbuse mit a rire: - Bien rencontré compagnon dit - il ous pourrons voguer de conserve.Et venez 

boire un peu de hurm à bord de la Revanche de la Reine - Anne . Le  Major Stede Bonnet  comprit de suite qu'il avait

rencontré le capitaine Teach Barbe- Noire  le pleus fameux de ceux qu'il admirait . mais sa joi fut moin grande qu'il eut pensé . IL  eut le sentiment qu'il allait  perdre sa liberté de pirate . Taciturne il passa sur le bord du vaisseau de Teach  qui le reçut avec beaucoupde grâce le verre en main - Compagnon dit  Barbe-Noire tu me plais infiniment . Mais

tu navigues avec imprudence.Et si tu m'en crois capitaine Thomas tu demeureras dans notre bon vaisseau et je te ferai diriger ta chaloupe prat ce brave homme trés expérimenté qui s'appelle Richards ;  et sur le vaissau de Barbe-noire  tu aura tout loisir de profiter en la liberté d'exstence des gentilshommes de fortune le Major Stede Bonnet n'osa

refuser . On le debarrassa de son coutelas et de son espignole . IL prêta serment sure la hache ( car Barbe- noire ne

pouvait surporter le vue d'un Bible ) et on lui assigna sa ration de biscuit  et de rhum  avec sa part de prises futures le

Major  ne s'était point imaginé que la vie des pirates fût aussi réglementé. IL subitles fureurs de  Barbe-Noire et les

affere de la navigation. Etant parti de Barbados en gentilhomme afin d'etre pirate à sa fantaisie il fut contraint de devenir

véritablement pirate sur la Revanche de la reine-Anne  IL mena cette vie pendanttrois mois durant lesquels il assista

son maître dans treize prises puis trouva moyen de reparsser sur sa propre chaloupe la Revanche  sous le

commandement de Richards . En quoi il fut prudent car la nuit suivante Barbe-noire  fut  attaquéà l'entrée de son il

d'Okercok par le lietenant Maynard qui arrivait de Bathtown .Barbe-Noire  fut tué dans le combat et le lietenant ordonna qu'on li coupât la tête et qu'on l'attachât au bout de son beaupré ; ce qui fut fait

Cependant le pauvre capitaine Thomas  s'enfuit  vers la Caroline du sud  et navigua encore plusieurs semaine . le

gouverneur de Charlestwon  averti de son passage déléga le colonel Rhet pour s'enparer de lui à lîle de sullivans .

le capitaine  thomas se laissa prendre . IL fut mené à charleswon  en grande pompe sous le non du  Major Stede

BONNET qu'il réassuma sitôt qu'il le put . il fut mis en geôle jusqu'au 10 novembre 1718 ou il cmoparut devant la cour de la vice-amirauté . Le chef de la justice Nicolas Trot  le condamna à mort par le trés beau discours que voici

 

 

- Major Stede Bonnet  vous êtes de deux  accusations de piraterie : mais vous savez pillé au moins treize vessaux en

vous pourriez être accusé de onze chefs de plus ; mais deux nous suffiront ( dit Nicolas Tort

Cependant la cour prononce que vous serez pendu part le col jusqu'a ce que mort s'ensuive . Le Major Stede BONNET

 Ayant écouté avec componction le discours du chef de la justice  Nicolas Tort . le Major Stede Bonnet  fut pendu le même jour  comme larron  et pirate à Charlestown  . 

 

 

 

                        

 

  

  

 

 

                             

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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 22:15

1dbd6c14faef6cce1433832f5e3adfb5fa8e4e0c 216x280 Q75                                  RACKHAM LE ROUGE ! ( Jack Rackham )

 

  Jack Rackham écuma les mer de la Jamaique à bord du Revenge en  compigniedes deux piratesles plus sulfureusesde l'istoire de  flibuste :  Anne Bonnyet  et  Mary Read pirate des caraibes qui utilise d'ailleurs l'etendart

de Rackham ( deux sabres surmontés d'une tête de mort  ) pour floter au grand mât Black peart ... Jack Rackham aurait été timonier sur  navire   britannique le commandantde ce dernier ayant refusé de se froter à un navire

français l'equipage se serait mutiné et Jack aurait pris le controle du Neptune

. Nouveau  maitre à bord Jack se serait lancé à la poursuite du navire français  et l'aurait arrisoné avec un franc succés  ! couvert de gloire part ce premier triomphe  aclamer  part  l'equipage qui vient de mette la main  sur le butin des vaincus propose aux matelots de s'emanciper du pouvoir britannique et de voger à présent pour leur compte En d'autre stermes il les

invite à devenir pitates. L'idée est approuvée mais pouvait-il en être

autrement quand les mutins son condanées à mort . 

  

                

 

 .

 

                                                                                                     L'amour impossible et le retour du pavillon noir !

 

 

                                                                                                                                                                                                                                   Jack finit néanmoins par accepter un pardon royal (meilleur moyen de trouvé par le gouverneur pour se debarrasser de

pirates) et s'installe aux Bahamas oû il rencontre Anne Bonny une jeune femme mariée avec il entretient une relation

aldultère . Liaison dangereuse s'il en est puisque le marie n'est autre que James Bonny lui-même pirate. quand la trahison est dévoilée Anne est condanée au fouet et  Jack s'enfuit avec elle et reprent la mer à bord  d'un sloop le Rev

Bien entendu la presance d'une femme sur un navirene fait pas l'unanimité loin de là  c'est pourquoi Anne se travestit

prend le nom d'adam Bonny. Combattanta au miieu des autres loups de mer Anne deviendra une des grande figures

féminines de la flibusterie ! D'ailleurs Jack n'est pas au bout de ses surprises avec ses louvre de mer .... il  recrute  sa

le savoirune autre travestie : Mary Read ! Anne et Mary auraient entretenu une ralation homosexuelle mais tout ce qui touche à la piraterie il est difficile de savoir se qui touchedu fait historique de la légendre et du fantasme . Quad Jack a

découvert la fiminité de Mary les deux femme auraient toujour vécues encemble comme un couple. Dans un premier temps Jack et ses amazonesfont régner la terreur dans les mer chaudes les navires sont arresonnés le butin s'entas

dans les cales . A tel point que le gouverneurde la Jamaique finit par lancer une opération d'envergure pour écraser c

boucaniers . Mais les jeune louves de Jack jouent autant de leurs larmes que de leurs charmes on raconte que Mary  

 dénudais  son intimite avant d'achever un homme .Anne quant à elle aurait réussi à seduire le capitaine du  Royal Queen (qui appartenait à son ex-marie) pour infiltrer le navire et mouiller les méche des canons pendant  la nuit

permetttant aux pirates de l'aresonner sans résistancele lendemain . 

 

 

 

                                                                                    

 

                               

                                                       

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6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 21:25

2personnageEdwardeach,surnommé Barbenoire(en Angeltais:Blackbeard ) est  l'une

                des figures les plus célèbres de l'histoire de la piraterie

 

      Né en 1680 à Bristol ( Angletairre)  son vrai nomest présumé Edward Dummond .Il s'engage sur un bâtiment corsaire anglais pendant la guerre de la succession d'Espagne au service de la reine Annede 1702 à1713. En dépit de sa témérité et de son courage dans l'abordage des navire français ,il  n'a aucun avancement. il devient pirate en 1716 le capitaine pirate Hornigold lui confie le commandemen d'un sloop  Pendant deux ans, Teach accopagne hornigold avec son sloop jusqu'au jour ou li aborde un gros navire larchand français .

 

IL reçoit alort en novembre 1717de son capitainele commandement d'un navire français armé de 40 canons ." le concorde " , rebatisé " Queen Anne' s Revenge" (" la revanche de la Reine Anne" )

 

En1718, Teach se sépare d'Hornigoldet s'en va écimer les mer pour son propre compe.A la tête de 300 hommeset de 4 navires .

 

Il avait comprais que son arme principaleétait la terreuret il se rendit donc

 

 le plus trreble possible .En le voyant surgird'un nuage de fumée  armé jus'qu'auxdents avec sa longue barbe tressée ses victimes se rendaient avantque le moindrecoup de feu en soit tiré. (  il portait eune longue barbe noire avec la quelle il faisait des tresses .et dans laquelle il accrochaitdes rubans rouge Pour effrayer l'aversaire,

Pour que ses capetifs sachent à quoi ils s'exposaient il n'hésitait pas à trancher le doigt de quiconque hésitait à lui remettresa bague .Barbe noire se montrait tout aussi inflexible avec son équipage  en massacrant de temps en temps un oudeux marinshistoire de rappeler qu'il était maître à bord.

 

Avecses 40 canons son navire <<La Revanche de la Reine ANNE terrorisales caraÏbes entre 1715 et 1718.Il repoussa un  vaissau de guerre britannique catura 4 navires au Honduras,et rançonnatout la ville de charleston en caroline du sud.

 

Teach est recherché et sa tête est mise à prix part le gouverneur A. Spotswood.Ce dernier fait appel lietenant Maynard,commmandant du bâtiment de guerre le"Pearl " pour capturer  Barbenoire.

 

Après plusieurs joursde recherche,Maynard arriveà retrouver Barbenoire  dans la baie d'Ocracoke ou son bâtiment est au mouillage .Teach était prévenu de la venue de Maynard mai ne senblait pas s'en  soucier.

 

Au matin du 22 novembre1718, l'abordage est lancé un combat féroce s'ensuit .Teach et Maynard se retrouvent face à face .Chacun étant armé d'un sabre et d'un pistolet. Il se livrent à un duel pistolet. Teach est touché.

les deux homme s'affrontent ensiute au sabre ,celui du lieutenant se brise sous les assauts de son terrible adversaire .

Teach se rue sur lui pour lu porterle coup fatal,lorsq'un matelot lui assèneun coup de poignardà la nuque.Surmontant sa douleur le sang l'inondant partout,Barbenoire continue à combatte courageusement en dépit de ses multiples blessures quand un autre matelot se mêle au combat et l'assaille de coups de couteaux .

Enfin Maynrad le touche mortellement  d'un coup de pistolet .Teach s'ecroule.

 

 

On relevera sur lui 25 blessures divers dont 5 part balle . Maynart  fit  trancher la tête de Teach et l'exposa au sommet du mât afin de servir d'avertissement à tous les pirates qui se trouvaient aux  Caraibes ou ailleurs.

Bien que sa tête fut exposée part la suite en place plublique, de nombreux marins et colons refusèrent de croire à sa  mort ... ETc'est ainsi que bien des actes de oiraterie lui furent attribués à titreposthum.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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